• Bonjour, Amis lecteurs !

    C'est l'heure du Top Ten Tuesday ! 

     

    Le TTT est un rendez-vous hebdomadaire dans lequel on liste notre top 10 selon le thème littéraire défini. 
    Ce rendez-vous a initialement été créé par The Broke and the Bookish et repris en français chez Iani,Carnet de lectures

    Top Ten Tuesday (2)

     

    Le thème de la semaine est : 

     

    Les 10 livres à lire ce printemps (ma PAL pour ce printemps)

     

    Top Ten Tuesday (3) Top Ten Tuesday (3) Top Ten Tuesday (3) Top Ten Tuesday (3) Top Ten Tuesday (3) Top Ten Tuesday (3)  Top Ten Tuesday (3)

      Top Ten Tuesday (3) Top Ten Tuesday (3)

     

     

    Ce fut difficile de faire un choix, étant donné l'état de ma PAL, mais bon, voilà ... happy

    A la semaine prochaine !

     

     

     

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  • La bête des Vosges

     

    Le titre s’étalait à la une de l’Est Républicain, sur quatre colonnes, en lettres bien grasses.

    On ne pouvait pas le rater. On commençait à frissonner à son évocation. Les enfants étaient terrorisés, les vieilles se signaient,  toute la vallée était sens dessus dessous.

    Ca recommençait.

    - Ce n’est pas ça qui va rameuter les touristes, se plaignit Monsieur Claudel, patron du plus grand hôtel de la vallée.

    - Sans parler que ça va mettre une belle pagaille dans les esprits, renchérit le petit Marcel, habitué des conversations de comptoir.

    - Vous allez voir que tout le monde va soupçonner son voisin d’ici peu, avança le tenancier du bar "Les Copains".

    - C’est encore une magouille politique !invectiva un des joueurs de cartes, attablé dans un coin de la salle.

    La mère Michel qui ne promenait pas son matou ce jour-là conclu le débat :

    - N’allez pas chercher midi à quatorze heures! C’est simplement une affaire de jalousie ou de vengeance ou les deux à la fois, avant de lâcher un de ses habituels :

    - Ah ! Ces hommes !

     

    NOUVELLE VICTIME - LA BÊTE DES VOSGES EST DE RETOUR.

    Les lettres avaient marqué les esprits. Les mots s’étaient imprimés dans la tête de tous, en caractères encore plus gras et plus importants, que sur le papier. Nul besoin de photo (inexistante d’ailleurs) pour enflammer les plus vives craintes, rouvrir les peurs ancestrales.

    Une bête était aux portes du village, attendant patiemment de passer à l’attaque.

    L’article ne comprenait que deux malheureuses colonnes page six. On ne savait rien en fin de compte.Le journaliste avait misé sur la vitrine, mais son stock était quasiment inexistant.Une dame était décédée hier, à l’hôpital d’Epinal, des suites d’une morsure fatale. Le correspondant ne s’étalait pas dans les détails, il n’y était question que de souffrance atroce, comme si tous les muscles de la victime s’étaient vrillés, tordus par une puissance inconnue.

    La rumeur allait bon train, se répandant dans toute la vallée comme une trainée de poudre, sentant le souffre. Déjà plusieurs personnes l’avaient vue, cette monstrueuse bête. Son portrait-robot était difficile à cerner, tellement l’imagination humaine est fertile. Certains décrivaient une sorte de loup atroce, aux yeux rouges, le poil hérissé, à peine entrevu à la lisière de la forêt.

    D’autres avaient clairement vu un plantigrade assez trapu mais pas d’une grande taille toutefois. Il poussait des grognements qui vous glaçaient les sangs.

    Quand, une semaine plus tard, la une du quotidien reparla de la bête, ce fut la consternation des esprits rationnels et le délire enfin libéré de tous les autres, de loin les plus nombreux.

    Cette fois la victime était un homme d’âge mûr, hospitalisé quelques semaines plus tôt pour d’étranges symptômes jusqu’ici inconnus. Il avait, lui aussi, la marque précise de la morsure de l’animal.
    On enquêta. On questionna. Il n’en fallait pas davantage pour enflammer la vallée, terrorisant les esprits les plus faibles. Le journal en parlait chaque jour, parfois il en faisait sa Une, lorsqu’aucune info spectaculaire ne surgissait de ce monde devenu fou.

    On parlait beaucoup. Dans les chaumières. Mais aussi au café de la place. Le Dimanche matin sur le parvis de l’église. Dans les ateliers et les bureaux.

    Une grande majorité avait aperçu le sanguinolent monstre ; ou s’ils ne l’avaient pas croisé de loin, ils étaient persuadés de sentir sa présence non loin de leurs pas.

    Les petites vieilles et les enfants impressionnables ne sortaient plus. D’autres, plus intrépides ou désirant accéder à la gloire, parcouraient sans relâche les bois et les forêts. Lorsqu’on la cherchait, la bête devenait invisible.

    Un jour, on vit arriver un énorme véhicule immatriculé dans la capitale. Dès le soir, il était question de « la Bête des Vosges » au JT de vingt heures.

    Les habitants de la vallée étaient désormais partagés entre une peur irrationnelle et une fierté bien réelle. Un écrivaillon publia un imposant volume qui connut un grand succès de librairie. La bête du Gévaudan n’était à ses yeux qu’une pâle copie de la monstruosité et de la soif de sang de notre animal tueur d’hommes.

    Une troisième victime enflamma des esprits déjà surchauffés. Même si la mort de ce malheureux vieillard n’était peut-être pas imputable à la fatale morsure de l’animal, son état de santé étant des plus faibles depuis des années, tout le monde s’accorda à considérer la Bête comme seule responsable.

    Une battue fut organisée. Sans succès sauf celui de conférer au phénomène des propriétés dépassant de loin le règne animal.
    Pour beaucoup, c’était un loup-garou. Les plus scientifiques parlaient d’organisme génétiquement modifié par un savant fou ou par les militaires américains en vue d’une opération qui aurait échouée.
    Des esprits tortueux pensèrent à une vengeance de la part d’un malade mental ou d’un gauchiste qui aurait dressé un gros chien à s’attaquer à la foule.

     

    L’étau se resserrait. On commença à soupçonner son voisin. N’était-il pas original dans sa façon de vivre? On ne le voyait jamais au marché, lors des rassemblements festifs au village.

    Cet autre vivait au fond des bois, c’était douteux.

    Celle-là recueillait tous les chiens et chats abandonnés, elle aurait bien pu élever un lynx et en faire un tueur pour venger les animaux maltraités par une espèce bien plus cruelle que la vie sauvage.

    Celui-ci était sans travail depuis des mois, d’où lui venait sa subsistance si ce n’est d’un commanditaire pour lequel il avait créé ce monstre qui terrorisait la vallée toute entière.
    Quelques rares esprits éclairés raisonnaient en pure perte.

    Le curé, grand humaniste, fit un sermon appelant au plus calme mais devant une église vide, des chaises inoccupées. Charles le menuisier répétait inlassablement que les seuls bénéficiaires de ce triste spectacle étaient les journalistes et les pharmaciens, la demande en calmants et antidépresseurs ayant explosé. Personne n’écoutait.


    On annonça même la fin du monde.

    Et la bête courait toujours, insaisissable. On repéra des traces inconnues, à moitié celles du lynx, à moitié celles du sanglier. On imagina une créature mythique, échappée des contes et légendes médiévales ou plus ancienne encore. On murmura l’arrivée de l’antéchrist. La vallée était en pleine ébullition. Une nouvelle victime effaça les dernières lueurs de raison. La folie s’était totalement emparée des esprits. Tout devenait possible.

    On fit abattre le chien de la vieille Léondine, pourtant si paisible, sous prétexte que ses empreintes étaient celles de la bête. D’autres gros chiens firent les frais de cette folie douce. Cette année-là, les chasseurs s’en donnèrent à cœur joie. Il y eut même un accident mortel, le père Alfonse confondant son ami de trente ans avec la célèbre Bête. Il succomba à ses blessures et Alfonse fut relaxé, mettant en avant de sombres circonstances atténuantes produites avec talent et brio par le meilleur avocat du barreau. 

    Les rumeurs sont comme un grand feu de la Saint Jean. L’embrasement est rapide, impressionnant. Elles consument l’enchevêtrement de potins et de commérages, alimentés par cet oxygène qu’est la bêtise additionnée d’ignorance. Pour entretenir ce brasier, le souffle provient désormais uniquement des médias. Lorsque l’actualité proposa d’autres os à ronger, les journaux se désintéressèrent du sujet.
    On n’en parlait plus que dans la vallée. La bête n’avait pas fait d’autres victimes.


    Puis un jour, la dernière page du quotidien publia un article signé d’un professeur de médecine, exerçant au C.H.U de Nancy. Une sommité !

    La révélation datait de quelques mois, mais on n’avait pas pris la peine de l’imprimer à l’époque.

    On n’estimait pas sa pertinence à sa juste valeur à ce moment-là.

    Le rédacteur en chef se défendit d’en avoir eu vent, le journaliste auquel était parvenu le communiqué, avança l’excuse de recevoir tant de lettres, de billets et de dépêches, que cela ne l’avait pas alerté.


    Débarrassé de termes médicaux pompeux et trop techniques, l’article expliquait succinctement que la morsure mortelle avait été reçue lors de balades en forêt, en traversant taillis ou hautes herbes folles.

    Le patient ne développait les premiers symptômes indolores - juste une petite démangeaison - que quelques jours après l’attaque.

    S’en suivait des mois, parfois des années, avant que la pathologie ne devienne mortelle.

    Cela concernait un infime pourcentage de la population mordue et décimait bon an mal an, moins de cinq personnes sur le territoire.

    En revanche, toutes les expressions de la maladie, étalées avec force détails dans la presse étaient rigoureusement véridiques. La maladie véhiculée par cette morsure s’attaquait au système nerveux, paralysant les muscles dans d’atroces souffrances.

    L’enquête d’un journaliste intègre, qui n’avait pas eu l’honneur d’être publiée à l’époque où se déchainait la vindicte populaire, fut ressortie à l’occasion, épousant mot pour mot le communiqué de l’éminent professeur.

    La bête des Vosges, monstre assoiffé de sang, se nourrissait effectivement du sang de ses victimes, tel le plus repoussant des vampires et c’était bel et bien un monstre hideux, si l’on zoomait l’animal plusieurs dizaines de fois. La photo reproduite au dos du journal donnait des  frissons dans le dos.


    La gueule collée à un abdomen gigantesque posé sur huit pattes poilues, l’assassin posait pour la postérité.

     

    Une tique des bois...

     

     

     

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    Sorties littéraires semaine

    du 17 au 21 mars par Booknode

     

    Sorties littéraires semaine du 17 au 21 mars chez Booknode

    Le 17/03

        

     

     

    Le 18/03

            

     

     

    Le 19/03

               

      

    Le 20/03

     

     

    Le 21/03

          

            

     

     

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    R.O.S.E de Fleur Hana

    Editions EdiBitch
    Sortie 1er mars 2014
    Enquête paranormale ~ Format mini roman ~ Numérique

    Couverture réalisée par Soon & Imag'In
    Illustrations intérieures par Alexandre Ciano

     

     

    Découvrez le teaser en vidéo

     

     

     

    Tout d'abord je remercie les éditions Edibitch pour ce nouveau partenariat, le temps d'une lecture.

    J'espère que nous renouvellerons l'opération !!

     

     

    Résumé

    Quand Lord Spencer Fitzwilliam arrive à Paris pour résoudre une affaire de meurtre, il s’imagine expédier rapidement cette corvée. C’est sans compter Rosaline Leprince et son engin diabolique plus communément appelé bicyclette. Ce qui aurait dû être une mission en solo devient le pire cauchemar de l’anglais. Il en viendrait à se demander si un tête-à-tête avec la créature tueuse de danseuses de cabaret ne vaut pas mieux que la compagnie de la parisienne excentrique…

     

    En direct de la page de l'auteure ICI

     

    Illustrations en couleur d'Alexandre Ciano !

    "Dans le mini roman R.O.S.E., Alexandre Ciano a illustré certains personnages ainsi que des inventions. En voici quelques-unes mises en couleur (elles sont en N&B dans le livre). Merci encore à lui d'avoir su si bien capturer sous la mine de son crayon ce que j'ai écrit et merci de m'avoir ainsi aidée à donner plus de détails aux inventions."

        

     

    Personnellement j'ai adoré ces petits croquis... et surtout ceux des inventions... lol !

     

    Ma chronique

    L'histoire se déroule à Paris (plus précisément à Montmartre) dans les années 1890,  où une série de meurtres chez les danseuses du cabaret du Moulin Rouge, vient perturber, non seulement le célèbre cabaret, mais aussi toute la ville....
     
    Rosaline Leprince est une jeune "journaliste" enfin elle y travaille... Pas facile dans ce siècle...  (chose totalement "choking" à l'époque),  en plus elle fume, remonte ses jupes d'une drôle de manière, pour faire du vélo... hum en même temps je la comprends...  elle parle comme le ferait un homme, donc n'a pas sa langue dans sa poche, ce qui heurte terriblement ce pauvre Lord Spencer Fitzwilliam !!! Pauvre petite chose... lol
     
    Déjà il est anglais.. no comment.... C'est un Lord ! Oh My God !
     
    Pour lui la bienséance et les bonne manière ont force de loi, surtout chez les femmes... Bref il est choqué en permanence par le comportement de notre journaliste en herbe ! Et plus encore par les manières de ces "français" sans aucune manière ! OMG
    Il est toujours impeccablement vêtu et ressemble à s'y méprendre à ces personnages guindés que l'on trouve parfois dans des romans anglais..... vous voyez à quoi je fais allusion... !!
     
    Il fait partie (je dirai, à son corps défendant) du R.O.S.E, une organisation secrète britannique chargée d'éradiquer les espèces paranormales. Vous aurez la signification de ce sigle dans le livre... Il est également inventeur de nouveaux "artefacts", ce qui lui convient bien davantage (tout comme le père de la demoiselle). Par exemple il a inventé un briquet ! - qui pourrait considérablement rendre service à Rosaline, qui utilise toujours des allumettes - nous sommes en 1890, il ne faut pas l'oublier.
     
    Donc voilà notre pauvre lord, qui n'a pas vraiment l'expérience du terrain, obligé de venir enquêter à Paris, sur ordre de sa mère, directrice impitoyable de l'agence à Londres. Il communique avec elle grâce à ce qu'on pourrait appeler l’ancêtre de nos radios utilisées pendant la guerre, une de ses inventions... (dessin à l'appui) !
     
    Et quand arrivent ces meurtres étranges et inexpliqués, Rosaline, désireuse de décrocher un scoop, pour enfin être considérés comme une vraie journaliste et signer ses articles de son nom - encore un truc de l'époque, les femmes ne doivent pas sortir de leurs attributions pppfffff !!! - elle va sauter sur sa bicyclette et aller enquêter sur place.
     
    Bien évidement les deux protagoniste vont faire connaissance à cette occasion - Oups j'ai bien ri par moment... surtout en voyant les réactions du Lord coincé !!! - Les circonstances et la mère de Spencer vont les obliger à  "collaborer" ensemble - là j'ai eu de gros doutes - pour avoir des résultats.
    Spencer doit absolument prouver à sa mère qu'il est capable, s'il veut pouvoir lui succéder.
     
    Vous comprendrez que l’enquête ne va pas être facile, pour deux personnes que tout oppose et qui ont, chacun de leur coté, de très bonnes motivations. Ils vont vivre des aventures qui vont mettre à mal notre pauvre Spencer.... 
     
    C'est une histoire très sympathique, mais un peu trop sage à mon gout... qui m'a bien plu, mais qui ne m'a pas embarquée autant que je l'aurait espéré. En même temps, l'époque n'incite pas à trop de libertés.... 
     
    Toutefois on passe de très bon moment, surtout en voyant les protagonistes en action, ainsi que les personnages du cabaret avec leur langage, particulier, très "populo" !! J'ai bien aimé aussi l'histoire bizarre de la "chose", le coté paranormal est prenant !
     
    Mais chut, je n'en dirait pas plus, j'en ai déjà trop dit je trouve......
     

    Conclusion

     
    Si vous aimez le paranormal, les ambiances 1800, les guerres des sexes et les petits croquis marrants.... Alors ce livre ne pourra que vous plaire et vous emporter !!!
     

    Merci à Fleur Hana et à Edibitch pour ce roman, vraiment dépaysant !

     
     
     

     

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  • Saint Patrick 2014 : C'est aujourd'hui !  Saint Patrick 2014 : C'est aujourd'hui !

     

     

    La fête de la Saint Patrick 2014, c'est aujourd'hui !

     

    Bonne fête aux Patrice, Patrick ...

    Pour célébrer comme il se doit le saint-patron de l'Irlande, voici nos recommandations !

     

    Si vous cherchez une raison de faire la fête, aujourd'hui, elle est toute trouvée puisque c'est la Saint Patrick 2014 ! L'Irlande célèbre son saint-patron, et en France aussi, nous pouvons surfer sur la vague de bière qui va venir engloutir tous les pubs britanniques du pays. A travers le monde, de nombreuses manifestations très impressionnantes sont organisées. Sachez notamment qu'à Chicago, la rivière qui parcourt la ville est teinte en vert. A melty.fr, nous tenons cependant à bien vous préciser qu'il s'agit d'une célébration qui n'a rien à voir avec la fête nationale irlandaise ! Découvrez dès maintenant notre top 5 des pubs irlandais pour la Saint-Patrick !

    Alors les règles du jeu sont simples pour ce soir... Porter un vêtement vert (la couleur de l'Irlande qui porte bonheur), et se rendre dans un pub pour faire la fête au cotés des plus irish de vos voisins, et partager avec eux une bonne Guiness. A la base, s'il s'agit d'une célébration religieuse, mais aujourd'hui, il s'agit plus d'une opportunité pour se coucher tard, surtout chez nos amis anglo-saxons, chez qui cette fête ne pourrait être manquée. Et pourquoi pas tester des guimauves Guiness spéciales Saint Patrick ?

    En ce lundi 17 mars, nous vous proposons de fêter la Saint-Patrick comme il se doit avec un menu 100% irlandais ! Vous allez vous régaler à travers une véritable invitation au voyage !

    Aujourd'hui, c'est la Saint-Patrick ! L'occasion de revêtir votre habit vert et de profiter des happy hours des bars afin d'honorer le saint-patron de l'Irlande. Pour célébrer cette journée comme il se doit, la rédaction de meltyFood vous propose de concocter un menu 100% Irlandais sur les conseils de notre partenaire Marmiton.

    Pour entamer ce repas de Saint-Patrick sur une touche de fraîcheur, nous vous proposons une "gourmandise de Saint-Jacques au saumon fumé", une entrée alliant fruits de mer et pâte feuilletée.

    Place à une association aussi traditionnelle que goûtue"le bœuf à la bière" à agrémenter avec du thym, des baies de genièvre et du laurier. Nous vous suggérons de préparer ce plat à l'avance et de le réchauffer pour encore plus de plaisir lors de sa dégustation.

    Pour finir sur une note sucrée, nous avons été séduits par les "cream scones", des douceurs britanniques à base de raisins ou d'abricots secs, de noix, de muesli ou de figues sèches. À vous de choisir !

    La rédaction de meltyFood vous conseille de marier le tout avec la star de la bière brune : la Guinness. La marque vous propose d'ailleurs de combler vos papilles avec des guimauves pour la Saint-Patrick.

     

    Guiness, crème irlandaise de Bailey ou Irish Coffee ? Non, il ne s'agit pas de votre commande au pub du coin lundi prochain mais les saveurs enivrantes des marshmallows Wondermade pour la Saint-Patrick.

      

     

     

    Pour les amateurs de danses celtiques ! Comme moi, d'ailleurs.... 

     

     

    En 2014, Celtic Dances est de retour en France. Et quel retour ! C'est une véritable fête de la Saint Patrick qui tournera en France à partir du 7 mars 2014 (Palais des Congrès, Paris). Retrouvez le détail du spectacle et toutes les dates dans cet article.

    Danses celtiques et traditions

    Celtic Dances est, au départ, un spectacle donne une nouvelle dimension spectaculaire aux danses irlandaises. C'est un voyage dans l'âme d'une tradition bien vivante. Les airs envoûtants des ballandes irandaises sont entremêlés de musiques vivifiantes et de danses rythmées où l'on sent battre le coeur héritage issu des paysages sauvages du Connemara.

    Les instruments traditionnels - violon, bodhrán, cornemuse - mettent très bien en valeur le tempo endiablé des claquettes et l'on passe un agréable moment dans une atmosphère rappelant indéniablement les "Pubs" irlandais.

    La fête de la Saint Patrick 2014 : un spectacle qui promet !

    A partir du 7 mars 2014, Celtic Dances est en tournée pour un nouveau spectacle, exceptionnel, associant la troupe de danseurs à un pipe band écossais renommé, le Royal Scots Pipe Band, ainsi que les bretons duBagad de Lann Bihoué, qui fêteront leur 60e anniversaire. Du beau monde prévu pour une fête qui fera resplendir l'esprit celtique dans une soirée d'exception !

    Près de 25 dates de tournée sont pour le moment annoncées. En cas d'ajout de dates supplémentaires pour la tournée, la liste ci-dessous sera mise à jour.

     

    Toutes les dates de la tournée Fête de la Saint-Patrick 2014

    • Vendredi 7 mars - PALAIS DES CONGRES, PARIS - 20H30
    • Mardi 11 mars - L'ACCLAMEUR, NIORT - 20H30
    • Mercredi 12 mars - L'ESPACE CARAT, ANGOULEME - 20H30
    • Jeudi 13 mars - EQUINOXE, CHATEAUROUX - 20H30
    • Vendredi 14 mars - MILLESIUM, EPERNAY - 20H30
    • Samedi 15 mars - ZENITH, LILLE - 20H30
    • Lundi 17 mars -  ZENITH, CLERMONT FERRAND - 20H30
    • Mardi 18 mars - ZENITH, MONTPELLIER - 20H30
    • Mercredi 19 mars - LE SILO, MARSEILLE 15h - 20h30
    • Jeudi 20 mars - LE SUMMUM, GRENOBLE  - 20H30
    • Vendredi 21 mars - AMPHI 3000, LYON - 20H30 - Pas de bol ! Je suis à Paris..... :(
    • Samedi 22 mars - LE LIBERTE, RENNES - 20H30
    • Lundi 24 mars - ZENITH, CAEN - 20H30
    • Mardi 25 mars - LE VINCI, TOURS - 20H30
    • Mercredi 26 mars - ZENITH, TOULOUSE - 20H30
    • Jeudi 27 mars - ZENITH, LIMOGES - 20H30
    • Vendredi 28 mars - AMPHITEA, ANGERS - 20H30
    • Samedi 29 mars - ZENITH, ROUEN - 20H30
    • Dimanche 30 mars - PENFELD, BREST - 17H00
    • Mardi 1 avril - ZENITH, ST ETIENNE - 20H30
    • Mercredi 2 avril - L'ARCADIUM, ANNECY - 20H30
    • Jeudi 3 avril - THIONVILLE - 20H30
    • Vendredi 4 avril - ZENITH, DIJON - 20H30
    • Samedi 5 avril - ATHANOR, MONTLUCON - 20H30

     

     

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    Une parenthèse pour Demi Mac Gowan 

    Le  château de Lyra Mac Arthur, Eilean Donan

     


      

    Eilean Donan Castle, Loch Duich, Kintail

     

     L'écosse et les Highlanders

    Eilean Donan est une petite île du Royaume-Uni située en Écosse, administrée par le Council Area de Highland. Elle est reliée à l'île de Grande-Bretagne par un pont en pierre qui conduit à un château fort occupant une bonne partie de l'île. Cet édifice, construit et remanié à de nombreuses reprises à partir du début du xiiie siècle, est abandonné à l'état de ruine en 1719 à la suite d'une bataille qui l'endommage fortement.

    Racheté par le clan MacRae, il est reconstruit entre 1912 et 1932 en préservant le style architectural. Depuis, il accueille de nombreux visiteurs qui le considèrent comme le château le plus romantique d'Écosse. Il fait aussi partie des châteaux les plus photographiés d'Écosse et il a également servi de décor pour de nombreux films.

     

       Vue depuis le nord d'Eilean Donan (au centre) baignée par  le loch  Duich (au centre) donnant naissance au loch Alsh (à  droite) par réunion  avec le loch Long (à gauche) ; le village  de Dornie est visible juste à  gauche de l'île, aux pieds  des Highlands de l'île de Grande-  Bretagne (dernier plan).

     

    Eilean Donan est située dans le Nord du Royaume-Uni, dans le Nord-Ouest de l'Écosse. La ville la plus proche est Kyle of Lochalsh située à huit miles, soit environ treize kilomètres, à l'ouest par la route A87, à proximité de l'île de Skye7. Administrativement, l'île fait partie du Council Area de Highland, dans l'ancien district de Skye and Lochalsh.

    L'île de Grande-Bretagne entoure Eilean Donan vers le nord-nord-ouest avec la pointe Ardelve, vers le sud-ouest ainsi que vers l'est, là où les deux îles sont les plus proches. C'est en cet endroit que les deux îles sont reliées de manière artificielle par un pont mais aussi de manière naturelle lorsque la marée est basse. 

    Eilean Thioram, une autre petite île inhabitée, se trouve vers le nord-ouest. Eilean Thioram et Eilean Donan font toutes les deux partie des Hébrides intérieures, un archipel regroupant les îles s'étirant le long des côtes occidentales d'Écosse. Eilean Donan est baignée par les eaux du loch Duich provenant du sud-est, au niveau de sa réunion avec le loch Long venant du nord-est pour former le loch Alsh se dirigeant vers l'ouest. Cet ensemble de trois lochs maritimes communique avec l'océan tlantique via The Minch, une baie du Nord de l'Écosse, ainsi que par la mer des Hébrides située plus au sud.

     

    Eilean Donan est une île de forme ovale, orientée dans le sens nord- sud et couvrant une superficie de seulement cinq hectares, soit 0,05 km. Le point culminant de l'île ne dépasse pas dix mètres d'altitude hors constructions. Sa seule végétation est constituée d'une lande et de pelouses d'où émergent quelques rochers. Cette roche  qui affleure fait partie du complexe Lewisien composé de croûte  continentale métamorphisée datant du Précambrien. Malgré sa petite  taille, l'île dispose d'une source d'eau douce. Son climat, commun au  reste de l'Écosse, est de type océanique. Il est caractérisé par une pluviométrie élevée de 1 500 millimètres annuels répartis tout au long de l'année et des températures fraîches comprises de 4 à 10,5 °C en moyenne mais qui ne connaissent pas une grande variabilité saisonnière.

    La partie méridionale de l'île est occupée par un château fort entouré par un chemin connecté au reste du réseau routier britannique par un pont en arches de pierre. Ce pont débouche au niveau d'un centre d'accueil des visiteurs entouré par un parking s'étirant entre la côte et la route A87. Cette route permet de rejoindre l'île de Skye à l'ouest via Dornie, le village le plus proche de l'île situé à quelques centaines de mètres au nord, ou bien l'Est de l'Écosse via le Great Glen, une vallée occupée en partie par le loch Ness. L'île compte un seul habitant depuis 2001 selon l'office des statistiques d'Écosse.

     

    Installation d'une communauté religieuse

    L'histoire d'Eilean Donan est intimement liée à celle de son château. Avant sa construction, l'île, probablement découverte à la Préhistoire tout comme le reste de l'Écosse, est inhabitée et il en est fait très peu mention. Eilean Donan tire vraisemblablement son nom de Donan d'Eigg, un évêque irlandais arrivé en Écosse vers 580. Il y évangélise la population celte et vit en ermite sur l'île avant de mourir en 618. De nombreuses églises des environs sont dédiées à Donan et une communauté religieuse est fondée sur Eilean Donan à la fin du viie siècle. L'île est notamment choisie en raison du séjour du religieux mais aussi parce qu'elle dispose d'une source d'eau douce. Le devenir de cette communauté jusqu'à la construction du château reste inconnu mais une forteresse picte aurait été construite sur l'île.

     

    Construction et remaniements du château

     

     

    Le château d'Eilean Donan commence à être édifié à partir du début du XIIIe siècle, peut-être en 1220 ou en 1230. À cette époque et depuis le IXe siècle, les Vikings effectuent des raids en Écosse au point de contrôler et  de s'installer dans certaines parties du pays.

    Ces possessions vikings dans  les îles Britanniques n'obtiennent leur indépendance complète vis-à-vis  du royaume de Norvège qu'au milieu du XIIIe siècle et sont alors dirigées par  les Seigneurs des Îles.

    Soucieux de défendre ses terres, le roi écossais Alexandre II choisit Eilean Donan, située à une position stratégique  au carrefour de trois lochs maritimes, pour y installer un ouvrage défensif. Il  meurt en 1250 en combattant les Vikings mais son fils Alexandre III en est  victorieux en 1263 et récupère toutes les terres écossaises qu'ils détenaient.

    Le château d'Eilean Donan est agrandi à de nombreuses reprises après sa construction au point d'occuper la totalité de l'île. Le château fort est alors ceinturé par un chemin de ronde renforcé par des tours qui encerclent un donjon élevé au point culminant de l'île. Les dimensions du château seront finalement ramenées au cinquième de cette taille maximale à la fin du xive siècle pour des raisons obscures, peut-être pour adapter l'ouvrage au nombre de soldats disponibles pour le défendre. Son remaniement se poursuit avec l'ajout au xvie siècle d'une plateforme dans la partie orientale du château afin d'y recevoir des canons, la nouvelle arme à feu de l'époque.

    Le futur roi d'Écosse Robert Ier se serait réfugié à Eilean Donan alors qu'il était poursuivi par les Anglais et c'est depuis le château qu'il serait parti à la reconquête de son trône, le récupérant quelques mois plus tard. L'ouvrage défensif sert ainsi à de nombreuses reprises contre des ennemis étrangers mais aussi au cours des luttes entre clans écossais comme ceux desMacRaes et des MacDonalds. Le château est habité pendant une longue période par des hommes du clan MacKenziequi l'acquièrent au xive siècle et il est géré par un connétable. Ce titre, un des plus prestigieux du Kintail à l'époque, revient aux MacRaes à la suite d'un acte de guerre lorsque Duncan MacRae, alors simple éclaireur au château, parvient à en assurer seul la défense contre une attaque du clan MacDonald en 1539. Avec la Première Révolution anglaise au milieu du XIIIe siècle, des troupes royalistes stationnent temporairement dans le château, le clan MacKenzie étant opposé aux républicains.

    Résistance jacobite et destruction

    À la fin du XVIIe siècle, la Glorieuse Révolution oppose le peuple et des parlementaires britanniques, soutenus par l'armée hollandaise et plus de 3 000 huguenots français, aux partisans du roi Jacques II d'Angleterre qui sera finalement renversé en 1688. L'Espagne, qui soutient le roi d'Angleterre, envoie en 1719 à Eilean Donan une garnison de 46 ou 48 soldats jacobites qui se retranchent dans le château. Ils ont à leur disposition une poudrerie et sont en attente d'armes et de canons en provenance d'Espagne. Cet armement du château déclenche les hostilités entre la garnison jacobite et le gouvernement britannique arrivé au pouvoir avec la révolution. Le 10 mai 1719, ils y dépêchent trois frégates, The EnterpriseThe Flamborough et The Worcester, qui bombardent le château trois jours durant. Ce dernier résiste assez bien grâce à l'épaisseur de ses murs qui atteint en certains endroits quatorze pieds, soit plus de quatre mètres. L'assaut final est mené par l'infanterie qui reprend le contrôle du château et y découvre 343 barils de poudre à canon réunis dans le but de faire sauter le château.

    À la suite de cet épisode qui endommage grandement le château, celui-ci est abandonné à l'état de ruine et l'île reste inhabitée et inutilisée pendant près de 200 ans.

     

    Restauration du château

     

    En 1911, John MacRae-Gilstrap rachète l'île et y entreprend la  restauration du château à partir de 1912 avec l'aide de Farquar  MacRae qui joue le rôle de conducteur de travaux. Dans un  premier temps, le site est dégagé des blocs épars afin de  révéler la structure du château. Ce n'est qu'en 1920 que  l'édification proprement dite commence, s'achevant  en juillet 1932, soit au bout de vingt ans de travaux. D'un coût  de 250 000 livres sterling, cette réhabilitation constitue le  quatrième gros remaniement du château depuis sa  construction. La reconstruction des bâtiments et la restitution de leur architecture se font uniquement sur la base des ruines encore visible sur le site. Ce n'est qu'une fois l'ouvrage terminé que des plans du château sont retrouvés dans les archives du château d'Édimbourg. Par comparaison de l'ancien et du nouvel aspect du château, il s'avère que la reconstruction a été d'une grande fidélité au style originel.

     

    Plan des ruines du château en 1887.

    Les ruines permettent de deviner l'organisation générale du château. Celui-ci se compose d'une cour intérieure avec dans son angle nord-est le donjon, d'une longueur de 57 pieds (17 mètres), d'une largeur de 43 pieds (13 mètres) pour une épaisseur des murs de 10 pieds (3 mètres), ainsi que dans sa partie sud un autre bâtiment rectangulaire.

    À l'extérieur de la cour se trouve une tour à sept côtés de 20 pieds (6 mètres) de diamètre et dont la base est située en contrebas de la cour intérieure. Cette structure, qui pourrait être une ancienne citerne d'eau douce, est reliée aux murailles orientales par deux murs d'une épaisseur de 5 pieds (1,5 mètre) et qui auraient pu atteindre une hauteur de 15 pieds (4,5 mètres). Les murs d'enceinte de la cour sont percés de deux portes. La principale, fortifiée, dans le mur sud ainsi qu'une plus petite dans le mur ouest qui permettait vraisemblablement d'accéder directement au château depuis le loch Duich avec une petite embarcation. La salle des gardes, aux murs de quatorze pieds (4 mètres) d'épaisseur et au plafond voûté, les cuisines, où la préparation des repas se fait sans équipement moderne, ou encore la salle du banquet avec ses poutres apparentes, sont les pièces les plus remarquables du château, lequel est entièrement meublé et décoré dans le style du Moyen Âge. Érigée à l'occasion de la reconstruction du château, une stèle à la mémoire de Canadiens, d'Australiens et de membres du clan MacRae tombés au combat lors de la Première Guerre mondiale, se dresse à l'extérieur des murs.

     

    Intérieur décoré, meublé et mis en scène du château d'Eilean Donan.

     

    Le château reste une propriété familiale tout au long du XXe siècle, même lorsque le Conchra Charitable Trust est créé en 1983. Cette société de bienfaisance est mise en place par des membres du clan MacRae afin d'assurer la gestion, l'entretien et la restauration du château. Ainsi, parmi les récents aménagements effectués dans le château et ses abords, il y a la création de six chambres au troisième étage en 1996 ainsi que la rénovation de la toiture et des murs extérieurs d'une partie du château au début des années 2000. L'accès routier à l'île et au château a été réaménagé en 1997 et 1998, par la création d'une voie centrale sur la route A87 dont le tracé a été redessiné ainsi que l'agrandissement et le réaménagement du parking et du centre des visiteurs. Ce centre des visiteurs regroupe le point de vente des billets pour le château, une boutique souvenir et un centre d'exposition sur la rénovation du château. Il permet aussi à toute personne ne pouvant gravir les nombreuses marches du château d'effectuer une visite virtuelle du lieu.

     

    Vue de la cour intérieure du château d'Eilean Donan.

     

     

     

    Tourisme

     

    Vue d'Eilean Donan depuis le nord montrant la partie non construite de l'île avec la stèle aux victimes de la Première Guerre mondiale au pied du donjon.

     

     

    La quasi-totalité du château est accessible au public. En 2005, 270 822 personnes l'ont visité, ce qui en fait un des sites touristiques les plus populaires des Highlands d'Écosse juste devant le château d'Urquhart sur les rives du loch Ness.

    En 2007, le château d'Eilean Donan a été élu « meilleur château d'Écosse » par les lecteurs du magazine Icons of Scotland dans la catégorie « meilleure attraction historique ». 

    Il est considéré comme le château le plus romantique et le plus photographié d'Écosse.

     

    Outre la simple visite, le château d'Eilean Donan est aussi disponible à la réservation pour des mariages, la location hôtelière, le tournage de scènes de cinéma et de télévision ainsi que la réalisation de séances de photographies.

      

    L'écosse et les Highlanders

     

     

    Culture

     

     

    Le château d'Eilean Donan a servi de décor d'extérieur et d'intérieur à de nombreuses reprises.

    C'est le cas des films La Grande Révolte en 1948, Highlander en 1986, 

    Mio in the Land of Faraway en 1987, Rob Roy en 1995, 

    Loch Ness en 1996, Ørnens Øje en 1997,

    Le monde ne suffit pas en 1999, Kandukondain Kandukondain en 2000, 

    Elizabeth : L'Âge d'or en 2007 et Le Témoin amoureux en 2008,

    des téléfilms Das Blaue Palais: Der Unsterbliche en 1976,

    un épisode de Hamish Macbeth en 1987, Oliver's Travels en 1995, 

    Kuch Kuch Hota Hai en 1998, 

    Un meurtre sera commis le... en 2005 ainsi que des jeux télévisés comme la version britannique de La Chasse aux trésors en 1983.

     

    Le château est également présent sur la pochette de l'album Dreamcatcher du groupe Secret Garden.

      

    L'écosse et les Highlanders

     

    Moi j'aime bien imaginer les héros de Demi dans ce joli château, pas vous ??

    Voici le lien avec ma chronique....

    et celui de sa page ... 

     

    Heart of Midlothian, Edinburgh

     

     

    Eilean Donan Castle, Scotland 

     

     

      

     

     

    Eilean Donan Castle, The most iconic images of Scotland

     

     

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    Challenge Mars - 1 mois --> 1000 pages !

     

    Petit bilan au 9 Mars

     

      Challenge Mars - 1 mois  --> 1000 pages !

     Terminé : 376 pages             En cours : 60 pages

     

    Corrections manuscrits :

    Slaves - en cours : 405

    Morsure au clair de Lune, tome 1 : 60 pages

    3 jours avant Noel : 10 pages

    Lise & Lisa : 25 pages

    Total : 876 pages 

     

    Challenge Mars - 1 mois  --> 1000 pages !

     

    Bilan au 14/03 

     

     

    Corrections et relectures manuscrits : 901 pages - Tout terminé ....

    Si tu oses : 376 pages

    Tribulations d'une fan, toujours en cours : 132 pages 

     

    TOTAL : 1033 Pages....

    CHALLENGE RÉUSSI !!!!!

     

    On continue, maintenant j'attaque toutes les lectures pour les chroniques....  

     

    Challenge Mars - 1 mois  --> 1000 pages !

       

    Je remonte le défi à 1500 pages !

     

    Challenge Mars - 1 mois  --> 1000 pages !

     

    En cours de Lecture :

     Un monde merveilleux 
    Tribulations d'une fan  : en cours

     

       

     384 pages                     146 pages

     

    TOTAL AU 20/03 : 1563 pages !

    Je passe à 2000 !

     

    Challenge Mars - 1 mois  --> 1000 pages !

     

     

    Lecture pour partenariat Lune écarlate :

    Dark-Side: Asylum Vampire, Livre II

     314 pages 

     

    + Lectures en cours 

    Challenge Mars - 1 mois  --> 1000 pages !    

    A terminer

     

    Finis

       

     333 pages lu                   299 pages lu 

     

    Total au 24/03 : 1563 p + 333 + 299 = 2195 pages 

    Je passe à 2500 !

     

    Challenge Mars - 1 mois  --> 1000 pages !

     

     Terminés

    {Challenge Mars} - 1 mois  --> 1000 pages !       {Challenge Mars} - 1 mois  --> 1000 pages !

     322 pages                              373 pages
    Ma chronique en cliquant
    sur l'image

     

    SP pour Edibitch (40 p)

     

    Corrections et relectures manuscrits
    1 nouvelles + début de mémoire = 30p

     

    Total au 31/03 = 2 960 pages

     

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    Bonjour amis lecteurs !

     

    Dans le cadre de mon nouveau projet "légendes de nos régions", j'ai un peu élargi la région,puisque je vous présente une légende celtique, mais écrite par un auteur bien de chez nous...

    Je vous présente aujourd'hui la première partie d'une légende écrite par Walter Katt et les Phénomènes de Corneghem sa page Facebook est Ici...

     

     

    Je ne saurais trop vous conseiller d'aller la visiter... elle est superbe !!!!

     

    LA LÉGENDE DU CELTE VOLANT / Les Larmes du Sanglours

    (première partie)


    "Promenons-nous dans les Temps Celtiques !

    Il était une fois, en Irlande, un barde itinérant qui se nommait Kalaël.
    Barde itinérant signifiait à l’époque qu’il louait ses services poétiques aux chefs de clans les plus offrants.

    Kalaël se présenta un soir à la cour du puissant Angus Mc Fioll, chef du clan des Mc Fioll. Mais il trouva un vieil homme accablé. Tassé sur son trône, Angus semblait un petit homme perdu au bord d’un abîme de tristesses. Aussi, le barde lui proposa son aide.

    Le vieux chef releva lentement sa tête couronnée de longs cheveux blancs et dit d’une voix lasse :
    - Si tu réussis à sauver mon clan, je te récompenserai au-delà de tout ce que tu peux espérer.

    Et Angus Mc Fioll raconta au barde son histoire et lui confia son grand secret :

    - Depuis de très nombreuses années, les princes, les rois et les empereurs de ce monde envoient leurs émissaires en Irlande afin de se procurer à prix d’or le Whiskey distillé par le clan des Mc Fioll. Car on dit que ce Whiskey est le nectar des Dieux. Et je possède le secret de sa distillation.
    Dans cette eau de vie… il y a les larmes du Sanglours !

    Le Sanglours est un animal mythique, dangereux, qui a le corps d’un ours et la tête d’un sanglier. Dans ma lointaine jeunesse, au cours d’un périlleux voyage, j’ai rencontré un Sanglours. C’était en Armorique, au plus profond de la forêt de Brekilien. Un légende rapporte que si l’on parvient à faire pleurer le Sanglours, il laisse la vie sauve au voyageur et lui offre ses larmes. Elles sont magiques !

    Je suis parvenu à faire pleurer la bête. Je lui ai raconté comment, au cours de mes chasses sanglantes, j’étripais les sangliers à mains nues. J’ai narré, dans le détail, comment je m’amusais à fouiller leurs entrailles, à déballer leurs tripes afin de les suspendre aux branches basses des conifères.
    Le Sanglours a pleuré et j’ai gonflé mon outre de ses larmes.

    De retour au pays, l’idée m’est venue de faire tomber une de ces larmes dans un tonneau de Whiskey. Et ce fut la révélation : une seule goutte pouvait transformer le Whiskey Mc Fioll en nectar divin. Et les années ont passé. La renommée de notre nectar s’est étendue loin au-delà de l’Irlande. Le nom des Mc Fioll a franchi les pierres de la Grande Muraille de Chine !
    Mais tout au long de ces années, goutte après goutte, l’outre s’est vidée.

    Aujourd’hui, ma gourde précieuse est flasque et sèche comme la poche de la cornemuse du sonneur breton mort de soif ! Le dernier tonneau de nectar à été mis en perce. Bientôt, il ne restera plus rien de la grandeur du Clan Mc Fioll. Car vois-tu, bien que je sache où trouver le Sanglours, je suis trop vieux et n’ai plus la force d’entreprendre un tel voyage. Alors, pour palier à ma défaillance, j’ai cherché un champion parmi mes barons. Mon espoir a été déçu. Même les guerriers les plus vaillants ont reculé en tremblant devant l’ombre du Sanglours. Personne n’ose relever le défi. Pourtant, ce que j’ai réussi montre que l’exploit n’est pas hors de portée d’un homme courageux et déterminé."

    (à suivre …)


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    Bonjour, Amis lecteurs !

    C'est l'heure du Top Ten Tuesday ! 

     

    Le TTT est un rendez-vous hebdomadaire dans lequel on liste notre top 10 selon le thème littéraire défini. 
    Ce rendez-vous a initialement été créé par The Broke and the Bookish et repris en français chez Iani,Carnet de lectures

    Top Ten Tuesday (2)

     

    Le thème de la semaine est : 

     

    Les 10 livres favoris de X genre

    Alors j'ai choisi le Genre Aventures et Passion ou de façon plus générale "Romantiques" 

     

     

    Top Ten Tuesday (2) Top Ten Tuesday (2) Top Ten Tuesday (2) Top Ten Tuesday (2) 

    Top Ten Tuesday (2)  Top Ten Tuesday (2)  Top Ten Tuesday (2)  Top Ten Tuesday (2)  

    Top Ten Tuesday (2)  Top Ten Tuesday (2)

     

     

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  • Céline Mancellon

     Editions Sharon Kena

    18 Mars 2014 !

     

     

     

    Extraits de "Les yeux du diable" de Céline Mancellon

     A lire ici !! Clic 

     

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